2020 29 FÉVRIER : BRAVO ADÈLE !

BRAVO et bonne continuation à notre jeune concitoyenne Adèle, petite fille d'Aline et Lionel, qui a remporté, avec son équipe, dans la catégorie des 10/11 ans, le titre de championne du Gard, en gymnastique artistique et sportive !

Merci à Jean-Michel André, photographe installé à Barjac, qui m'a permis de reprendre, sur le blog, cette photographie de Rochegude vu du ciel ! 

Où est cette porte ? Avez-vous déjà remarqué, dans Rochegude, cette porte avec cette chatière, murée de façon insolite ? Ce sont des visiteurs de l'association "La Zébrine" qui ont photographié ce min(ou)ois !

Aux dernières nouvelles, il y aurait une liste et quatre personnes seules qui ont été enregistrées en sous-préfecture ! Prochainement des informations plus précises.

La Cèze est magnifique, mais encore un peu fraîche !

Quand l’œil de la photographe saisit cette rencontre entre la piste forestière, la voies ferrées et le sentier ! - photographie Isabelle Guérin -

CHEVREAUX : grande animation, au dessus d'Aubarine, à la Ferme des Cabrioles, où, depuis le début du mois de février, soixante chevreaux sont nés !

Et chaque année, pour le plus grand bonheur de Sïana, il y a toujours, une chevrette qui doit être élevée au biberon !

18 H 15, le soleil couchant, illumine Rochegude !

Ruches troncs à Saint-Maurice-de-Ventalon, en Lozère

18 H 30, vers l'ouest, le ciel s'embrase !

La station de ski du Pleynet, dans le massif des Sept Laux.

Le massif de Belledonne s'étend sur 60 km de long et 10 km de large et constitue le décor naturel de deux des plus grandes villes des Alpes françaises, Grenoble et Chambery. Le point culminant est le Grand pic de Belledonne (2977 m). Le massif des Sept Laux, est au centre de cette longue chaîne de montagnes et culmine au Rocher Blanc (2927 m).

Depuis le sommet de la station de ski, dominant la vallée du Grésivaudan, avec, en face, la chaîne de la Chartreuse dans les nuages !

A noter, en ce jour de la Saint Valentin, que des groupes de personnes viennent sur le monument énigmatique des "pierres mystérieuses", pour "capter", ressentir l'énergie ou les énergies, émises par ce monument !

"Meules mystérieuses" : derrière le cimetière, le versant de la colline du "Ranc-Carrède" est couvert par de grosses pierres de formes arrondies. Ce pavage de blocs arrondis, dont le diamètre peut atteindre deux mètres, constituent une structure mégalithique mystérieuse et unique en Europe. Dans les années 50, des "fouilles" ont été commencées par des archéologues amateurs qui voulaient creuser un tunnel sous le monument. Mais, lorsqu’une dalle a basculé, les travaux ont été interrompus pour ne pas risquer d’être écrasé.

Évoquer des hypothèses : Pour certains, il s’agirait d’une pyramide partiellement recouverte par les murets en pierres des terrasses construites au 19ème siècle ou d’un pavement de blocs, posés sur le flanc de la colline, pour masquer l’entrée d’une grotte. D’autres évoquent un accès dallé à la rivière qui coulait, à cette époque, au pied de la colline ou suggèrent l’idée d’un lieu de culte dédié aux symboles célestes de la lune ou du soleil. Je préfère cette dernière hypothèse, car on retrouve cette croyance dans différentes civilisations anciennes, sur tous les continents. Le monument est orienté vers l’ouest, vers le soleil couchant, c’est à dire vers ce moment où le soleil disparaît remplacé par la lune dans le ciel : comme une métaphore qui renvoie à la mort mais aussi à la renaissance, à une nouvelle vie sous une autre forme.

Les "Ors préhistoriques" de Rochegude : En 1894 étaient trouvés, dans un champ de "Ranc-Carrède", une série d'objets en or, qui constituaient comme une "chaînette", formée de quatre anneaux de section rubanée, aux extrémités appointées. Leur longueur est de 3.1 cm pour le plus court à 7 cm, pour le plus long. L’ensemble pèse 34,87 g. Le dépôt comprenait aussi une petite barre d’or d’une longueur de 2,1 cm.

En réalité, ces "anneaux" ne sont pas des bijoux, mais des "lingots" qui servaient à stocker l’or, pour le transporter, avant de le vendre ou de le travailler. Christiane Eluère, dans son livre, les "Ors préhistoriques en France", pense qu’ils datent du début du Bronze Moyen, vers 1500 ans av. J.-C et affirme : "les anneaux de Rochegude présentent un peu d’étain, mais les ors restent très purs, avec de faibles quantités de cuivre". On peut penser que l’or, qui a servi à les fondre, a été recueilli dans les alluvions de la Cèze, à proximité de Rochegude. Par la suite, ils ont pu être déposés dans une "cachette de fondeur", comme on en trouve dans les garrigues du Languedoc, pour les métaux précieux de cette époque cuivre, argent, or… Un jour à l'occasion d'un labour ou d’un orage violent ils ont été exhumés.

Yves Rivier dégage un bassin qui a été creusé dans un rocher, taillé en forme de table, sur le sommet de Ranc-carrède, au dessus des "Pierres de Rochegude"

Le promontoire du Ranc-Carrède : l’occitan "Ranc-Carrède" désigne deux éléments naturels et humains présents dans cet espace : "Ranc" indique un ensemble de rochers, ce qui correspond à la topographie de la colline qui s’élève derrière le cimetière et "Carrède" désigne un chemin utilisé par les troupeaux, une "draille" que l’on peut suivre sur la crête de la colline. Autour de ce promontoire, les vestiges de la préhistoire sont multiples : anneaux d'or, rocher creusé et taillé, sur le versant sud-ouest, des abris sous roche ont servi d’habitats temporaires ou de sépultures. 

ETOILE de Bessèges : quand les coureurs de la couse cycliste de l'Etoile de Bessèges, traversent Rochegude !

Texte sur les "Pierres de Rochegude", par Mr GREFEUILLE, archéologue qui a fait dans les années 1960, de nombreuses recherches sur Rochegude. Propos recueillis, le 17 mai 1967, par Yves Rivier, jeune homme à l'époque, passionné d'archéologie qui participait à ces fouilles.

Sur la rive droite de la Cèze l’ensemble mégalithique dénommé les "Pierres de Rochegude" est l’un des plus mystérieux que nous connaissons ; UNIQUE au monde ; D’ ou la question ? Pourquoi nos lointains ancêtres ont fait ici ce qu’ ils n’ont fait nulle part ailleurs ? Et c’est bien là ce qui fait l’attrait exceptionnel de ce site. Les hommes ont accompli là un travail formidable ; Ils savaient pourquoi ils le faisaient, ils étaient poussés par un mobile impératif. Mais lequel ?

Notre œil nous dit d’abord qu’il s’agit d’un nombre important d’énormes pierres de calcaire dolomitique , de couleur rougeâtre on en voit à peu près 2 douzaines. Ces blocs sont posés avec soin et précision côte à côte ,ils recouvrent comme un gigantesque pavage un tertre artificiel de 30 mètres d’ arête. Leur forme varie du cercle à peu près parfait au bloc à peine dégrossi, mais ils portent tous des traces très nettes de taille. La face supérieure donc visible est toujours plane , la tranche est uniformément arrondie avec soin , la face inférieure est quelconque et porte surtout en son milieu de puissantes arêtes de telle sorte que l’épaisseur des pierres est beaucoup plus grande au centre que sur les bords. Leur diamètre varie de 1,80 à près de 3 mètres .L’une de ces pierres a la forme d’un vague croissant ce qui a pu faire penser qu’il s’agissait d’un tombeau arabe. Mais cette forme n’est qu’accidentelle : il s’agit d’une meule plus grande qui s’est cassée sous l’effet d’un tassement du sol.

Le poids de ces pierres , de densité 2,7 varie entre 1 500 kg et 6 ou 7 tonnes. Toutes ces meules ayant des contours arrondis sont tangentes les unes par rapport aux autres ce qui laisse des vides que l’on a comblés avec des pierres quelconques . Il y a là un désir très évident de protéger utilement ce qu’il y a dessous . Mais qui a-t-il ? Ceci est une autre histoire…

Ce désir de faire solide est indiqué par le choix de la pierre elle-même. Il y a à proximité une falaise de calcaire commun qui n’a pas été jugé assez résistant, aussi on a jugé préférable d’aller chercher à près de 100 mètres de là du calcaire dolomitique, une pierre très dure non gélive très lourde (D=2,7 ) ce qui augmente notablement les difficultés d’ extraction , de transport et de taille.

Trois murs ont été construit transversalement avec des déchets de taille quelquefois énormes et des blocs de calcaire commun , afin d’aménager des parties plates destinées à la culture. C’est en tout cas ce que l’on est obligé de penser tout d’abord. D’ailleurs les meules de la partie supérieure sont en partie cachées sous ces murs, ce qui laisse supposer qu’il y en a d’autres sous ces constructions. Donc on a construit le monument et on a ensuite édifié les murs en des temps plus récents. Il y a là une drôle de chronologie à cotre sens que l’on ne comprend guère.

Ne pas se laisser abattre, si la grippe s'invite à votre anniversaire !

NOUVEAUTÉS COMMUNALES : dans le Jardin de l'Ancien moulin, Ahmed a habillé de bois, pour en faire des banquettes, ces deux blocs en pierre de taille et à Courlas, Aubarine, Gréjan, il a installé des panneaux pour les informations communales.

PREMIÈRES SORTIES, pour les abeilles qui ramènent du pollen, récolté sur les fleurs précoces, à la ruche, pour nourrir les jeunes larves qui commence à sortir des œufs pondus par la reine. 

SYMBOLES RÉPUBLICAINS en 1879, la Troisième République met en place les symboles de la République française. La devise "Liberté – Égalité - Fraternité" s’affiche sur les frontons des édifices publics, la "Marseillaise" devient l'hymne national. En 1880, le "14 Juillet" devient le jour de la fête nationale et dans les mairies, le buste de "Marianne" s'impose.

Dans la mairie de Rochegude, le buste de Marianne, en version "classique", crée en 1879, par Théodore Doriot, voisine avec le coq gaulois, crée par la sculptrice Elena GIL, au moment de la rénovation de la mairie en 1998.

Dans l'église de Rochegude, pendant la réunion publique

La liste "Bien Vivre Ensemble" qui se présente aux élections municipales des 15 et 22 mars prochain a fait une réunion publique de présentation de l'équipe et des grandes orientations de son programme. L'occasion d'annoncer que la liste sera conduite par Patrick Dumas et que les adjoints seront Cécile Ozil et Adam Testud.

Adam Testud, Cécile Ozil, Patrick Dumas, Benoit Potier, Audrey Piana, Catherine Colas, Jean-Jacques Sala, Laurence Mercier-Gomes, Michel Simon, Agathe Bonzon