30 Apr

Avril 2024 : En AVRIL ne te découvre pas d'un FIL !

Publié par Pierre Chante - Catégories : #Patrimoine insolite !, #Photographies, #Mystères et beautés de la nature !

En AVRIL ne te découvre pas d'un FIL : voilà un dicton qui n'a jamais été autant vérifié que cette année. En effet après le vent, la pluie. Et, c'est la première fois que dans mes souvenirs, nous avons du chauffer jusqu'au 1er Mai !

- photos Pierre Chante - Cliquez sur les images pour les agrandir -

Par contre, gorgée d'eau et de chlorophylle,

la nature est magnifique !

STREET Art, BREAK Dance, GRAFFITI ; dimanche 28 avril, dépaysement assuré et l'occasion de transformer une après-midi pluvieuse en une après-midi distrayante et créative dans la grande salle des fêtes de Méjannes-le-Clap, à l'initiative de la municipalité et de l'association Famille Plus. - photos Pierre Chante - Cliquez sur les images pour les agrandir -

ALLO GRAFFITI : l'équipe souriante, basée en Avignon, animait des ateliers sous le porche !

Du BLEU malgré la PLUIE : ce matin il pleut, c'était prévu. Et, la pluie est annoncée pour toute la semaine. Il faut commencer à construire votre Arche de Noé et choisir, c'est un test psychologique, les personnes et les animaux que vous amèneriez ! - photos Pierre Chante - Cliquez sur les images pour les agrandir -

BLEU : mais il y a aussi du bleu à côté de chez nous, dans un grand champ de lin, à côte des anciens puits des mines d'asphaltes, à Saint-Jean-de-Maruéjols et Avéjan. - photos Sylviane Chante-Bois - Cliquez sur les images pour les agrandir -

Un temps pour aller, jusqu'à Méjannes-le-Clap, et profiter d'après midi, organisée par l'office de tourisme et Famille plus - voir affiche ci-dessous -

MAS ROSE et CLAYSSE VERTE : une promenade en boucle de Saint-Sauveur-de-Cruzières jusqu'à Saint-André-de-Cruzières, en poussant une petite pointe jusqu'au Mas Rose (voir photographies ci-dessous). - photos Anne-Marie et Bertrand Dauvissat - Cliquez sur les images pour les agrandir -

Après la visite de l'église de Saint-André-de-Cruzières, le retour se fait en longeant la Claysse qu'il faut franchir en marchant sur des "pas d'éléphants" !

Façade et portail roman : La construction de l’église de Saint-André-de-Cruzières remonte au XIIe siècle. Agrandie du côté nord aux alentours de 1840, puis du côté sud en 1850, l’église fut démolie puis rebâtie en 1885 pour un nouvel agrandissement. L’édifice n’a conservé de l’époque romane que sa façade et son portail richement décoré. - source mairie de Saint-André-de-Cruzières -- photo Fred Seiller -

NEIGE, MER et SOLEIL : le Mistral, qui soufflait en rafales, depuis neuf jours, vient de s'arrêter, mais, la pluie annoncée, commence à tomber. Malheureusement, ces pluies prévues pour trois ou quatre jours, ont fait annuler de nombreuses animations locales.

En particulier, la promenade rochegudo-rochegudienne, programmée le dimanche 28 avril, pour l'inauguration des panneaux de la grotte des Camisards et de la plate forme du belvédère.

En Corse, la neige est même tombée sur les montagnes (voir photographies ci-dessus).

Et, pour compléter ce tableau étonnant, Christelle nous offre douze couchers de soleil pris, chaque mois depuis un an, entre mer et montagnes (voir photographies ci-dessous). - photos Christelle Stawski - Cliquez sur les images pour les agrandir -

Le MENHIR de la LÈQUE : (dit « de la Pierre Plantée » ou « Peyrefiche ») est situé à proximité du hameau de la Lèque, sur la commune de Lussan. Il a été classé au titre des monuments historiques le 12 décembre 1910.

Il se dresse sur un point culminant, à 300 mètres d'altitude au dessus du ravin de Merderis. Il mesure 5,50 m de hauteur pour une largeur et une épaisseur maximales de respectivement 1,60 m et 0,60 m. Sa circonférence à la base atteint 5 m. Les faces sont orientées est/ouest, elles ont été entièrement martelées. - photos Christine et Gilbert Defer ; Sylviane Chante-Bois - source Wikipédia -Cliquez sur les images pour les agrandir -

Inscription sur le menhir, datée de 1921 : E. CHARMASSON - hameau de BETH

Fusiforme : le menhir est de forme régulière, fusiforme, il s’amincit progressivement de la base vers le sommet. Cette mise en forme est exceptionnelle pour les menhirs du département qui sont généralement des blocs bruts très légèrement dégrossis. La face est comporte à mi-hauteur une large plage circulaire, visible uniquement en lumière rasante, qui a été piquetée de manière plus accentuée. Il comporte à la base deux échancrures correspondant à une tentative de débitage et quelques inscriptions modernes (voir photographie ci-dessus).

Le menhir représenté sur une ancienne carte postale - blog : Alignement mégalithique au Nord du Gard

Photographie prise devant le menhir, en 2009, lors d'une promenade à Lussan, avec l'association Bien Vivre à Rochegude1

Chalcolithique : les archéologues estiment qu'il date de la période chalcolithique, une période durant laquelle un outillage principalement en pierre peut être complété par des objets en cuivre (fin du Néolithique/début de l'Âge du bronze, vers -2300 à -1800 en Europe occidentale).

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MERDERIS : non ce n'est pas un gros mot, mais le nom d'un ruisseau. Les gorges creusées par les rivières de l’Aiguillon et du Merderis offrent un très beau spectacle, avec dans la partie haute, des falaises percées de baumes et cavernes et en contrebas des marmites de géant aux eaux cristallines. - source Audrey : blog Les chemins de traverses - photos Christine et Gilbert Defer - Cliquez sur les images pour les agrandir -

Selon vos envies, vous pouvez marcher jusqu’au Portail des Concluses, ou poursuivre plus loin jusqu’à la Pierre Plantée, plus haut menhir du département (nous y reviendrons demain).

CHIEN et CHAT : le chien c'est Nala, une magnifique chienne blanche qui aime bien le printemps, car elle adore manger de l'herbe.

Le chat, c'est Caramel, une petite chatte trois couleurs qui aime bien l'hiver, car elle adore la chaleur du poêle.

Distances : mais quand ils se rencontrent, dans le chemin de la Barette, à Rochegude, ils préfèrent garder leur distances.

- photos Sïana Chante-Benzid ; Pierre Chante - Cliquez sur les images pour les agrandir -

Vous pouvez aussi retrouver l'exposition de la Cicindèle, à Rivières,

sur la page Facebook de Pascal Nardi (voir ci-dessous).

Dans la JUNGLE de RIVIÈRES : dimanche dans le cadre du Marché aux fleurs et aux saveurs, les organisateurs avaient invité Pascal Nardi et son association la Cicindèle. L'occasion de donner à l'Espace rivièrois des allures de jungles, de savanes et de désert.

Bestioles : en effet, toute la journée les enfants comme les adultes ont pu, en nombre, découvrir, voire même toucher, toutes sortes de "bestioles", serpents et araignées, souvent perçus comme des animaux effrayants. - photos Pierre Chante - Cliquez sur les images pour les agrandir -

La Cicindèle est une association à vocation pédagogique qui a pour objectif l'initiation et la connaissance de la faune régionale et exotique : insectes, arachnides et reptiles.

La Cicindèle champêtre est un coléoptères verts, parfois bleuâtres. C'est un insecte chasseur redoutable d'une grande rapidité et d'un appétit féroce. Elle attrape ses proies à la course et effectue des vols courts en cas de danger. - source : Wikipédia - photo : Olei -

des CAILLASSES aux PAILLASSES : une promenade balisée en boucle, depuis le château de Saint-Julien de Cassagnas, en longeant l'Auzonnet jusqu'à La Trappe, pour revenir par les Paillasses. Situé entre les châteaux de Portes et de Theyrargues, Saint-Julien de Cassagnas est une étapes sur les Chemin des Budos.

- photos Bertrand Dauvissat - Cliquez sur les images pour les agrandir -

Alzon, Auzonnet, Auzon : Jusqu’à la moitié du XIXe siècle, les textes et le cadastre napoléonien appellent ce cours d’eau « la rivière d’Alzon ». L’Auzonnet1 prend sa source à 612 m mètres d’altitude, près du hameau de Florac au « Valat de l’Enfernet », sur la commune de Portes. La rivière traverse Le Martinet, Saint-Florent-sur-Auzonnet, Saint-Jean-de-Valériscle, Les Mages, Saint-Julien-de-Cassagnas. Sur la commune d’Allègre-les-Fumades, au sud-est du village d’Auzon, il reçoit l’Alauzène et après cette confluence, il prend le nom d’Auzon. Son parcours de 30,5 km se termine sur la commune de Rivières où il se jette dans la Cèze à l’altitude de 109 mètres.

PRENDRE de la HAUTEUR : pour découvrir les toits du village de Rivières et apercevoir, depuis la petite lucarne d'une tour-pigeonnier, d'autres pigeonniers qui sont les souvenirs lithiques de cette ancienne "ville royale". Et, apercevoir, à l'horizon, le Castellas de Rousson et dans le lointain, peut-être, le Mont Aigoual (1556 m) ? - photo : Michèle Gratini - Cliquez sur l'image pour l'agrandir -

Marché aux plantes et saveurs : l'occasion de venir dimanche 21 avril, promener à Rivières, pour découvrir, de 9 h à 18 h, le Marché aux plantes et aux saveurs (voir affiche et programme ci-dessus - cliquez sur les affiches pour les agrandir)

MISSION PANNEAUX : mercredi 17 avril, 10 heures, avec Ahmed, Kévin, Philippe, nous sommes allés poser les panneaux explicatifs, sur la géologie et l'histoire de la grotte des Camisards.

Pas de problème jusqu'au belvédère où nous avons pu accéder en voiture et en quad. Mais ensuite il a fallu descendre et porter jusqu'à la grotte, par le sentier pentu et pierreux, la brouette, les outils, le sac de ciment, les seaux de sable, les bidons d'eau et bien sur les deux panneaux. - photos Pierre Chante - Cliquez sur les images pour les agrandir -

Au boulot : Sur place Ahmed et Philippe ont creusé les trous dans la terre, les racines et les cailloux, pendant que Kevin, re-montait re-escendait deux fois le sentier, pour aller chercher deux seaux de gravier et un bidon d'eau.

Bravo à Ahmed, Kévin et Philippe. Une mission panneaux rondement menée, puisqu'à midi, avec le sourire, les panneaux étaient fixés et tout était terminé. Des panneaux à découvrir, comme le belvédère, le dimanche 28 avril à l'occasion d'une promenade inauguratrice !

JOSETTE CHEVALIER née CHANTE : aujourd'hui, jeudi 18 avril, à 14 heures au cimetière de Rochegude, auront lieu les obsèques religieuses de Josette Chevalier, née Chante, décédée jeudi 11 avril, à l'âge de 78 ans.

- photos ci-dessus : Josette en compagnie de son fils Hervé Chante et de son petit fils Jonathan Chante -

Josette était née à Alès le 21 août 1946. Elle était la fille d'Émile Chante (1906-1981), agriculteur à Rochegude et d'Odette Combaluzier qui résidaient à Rochegude dans une maison située au Chemin Neuf, sur la colline de la Barrette.

En 1991, elle avait épousé Gérard Chevalier et ils s'étaient installés dans la maison familiale de Rochegude - photos ci-dessus : Odette, Émile et leur maison de Rochegude -

JAUNE et BLEU, sont les couleurs du blason de Rochegude et du drapeau de l'Ukraine (voir photographies ci-dessus).

Mais aussi, de deux petites fleurs, aux grandes vertus pour la santé, que nous avons croisées lors d'une récente promenade drômoise, dans les montagnes au dessus de Luc en Diois. - photos Sylviane Chante-Bois - Cliquez sur les images pour les agrandir -

Coucou ou Primevère officinale : les fleurs (voir photographie ci-dessus) en infusion ou décoction ont des vertus épurative et calmante. Elles peuvent aider à soigner la bronchite

La Petite Pervenche bleue est encore plus étonnante, car les feuilles en décoction agissent contre les troubles de la concentration, de la vision ou de l'audition. Elles diminuent les pertes d'équilibre et les vertiges (voir photographie ci-dessous)

INSTANTS FUGACES : depuis hier, le vent souffle, un phénomène climatique particulier, pas toujours agréable, mais le vent, comme les nuages, la pluie, la neige... est aimé du photographe, car il crée du paysage et dans le cas du vent des paysages particulièrement fugaces qu'il faut savoir saisir dans l'instant ! - photo : Martine De Decker - du vent dans les herbes et les arbres - Cliquez sur l'image pour l'agrandir -

Nous apprenons que les obsèques de Josette Chevalier, née Chante, décédée à l'âge de 78 ans, auront lieu, jeudi 18 avril, à 14 heures, au cimetière de Rochegude.

MONTGOLFIÉRE : dans la dynamique du soleil ascendant, une montgolfière s'élève au dessus de Belvezet et vient survoler Saint-Étienne de Sermentin. Puis, elle continue sa promenade aérienne et semble passer au-dessus des hauteurs du Mont Lozère, avant de dériver doucement vers Rivières et la vallée de la Cèze. - photos Pierre Chante - Cliquez sur les images pour les agrandir -

ANNIVERSAIRE : en fin d'après midi, le rideau tombait sur la vingtième édition des Théâtropes, Barjac en scène. Un anniversaire réussi et l'occasion de rendre hommage à toute une équipe de bénévoles (voir photographie ci-dessus) qui sont la "force vive" de ce rendez-vous théâtral, chaleureux et talentueux.

TRICOLORE : hier, dans la matinée, j'ai étendu machinalement le linge. Mais, dans l'après midi, lorsque je l'ai revu, éclairé par le soleil, j'ai trouvé que cette lessive avait des accents tricolores.

Cela m'a rappelé un souvenir (voir ci-dessous) qui concerne l'histoire de Saint-Ambroix.

Archives de la revue numérique "Antan", recherches de Brigitte Mayenobe-Martinez - Cliquez sur les images pour les agrandir -

Drapeau tricolore : "Le 14 juillet 1943, Saint-Ambroix est occupé par un détachement de l'armée allemande, cantonné à l'école publique (emplacement de l'actuel collège), en face de notre terrasse. Simone a eu l'idée de confectionner un drapeau tricolore (voir photographie ci-dessus), au nez et à la barbe de l'occupant. Jamais notre domicile n'a été autant salué que ce jour là."

THÉÂTRE : Voici venue la 20ème édition des Théâtropes, qui se tiendra du 12 au 14 avril 2024 au château de Barjac - voir le site theatropes.fr - Cliquez sur les affiches pour les agrandir -

CINÉMA : samedi 13 avril à 15 heures, à la Médiathèque de Saint-Jean-de-Maruéjols, projection du film documentaire sur le LADAKH, réalisé par Sylvie Hertout

GOUTTES : on peut attribuer les trous ronds verticaux, dans une roche calcaire, à un phénomène de stillation : la chute de gouttes d'eau, ± acides, toujours au même point, par exemple sous le point bas d’une branche.

Un fois l’arbre mort, si le creux est amorcé, il va se remplir partiellement de terre, de mousse, etc. et continuer à se creuser par dissolution avec évacuation lors des pluies comme le font les kamenitzas (alias creux de dissolution) à l’origine de « baignoires de fées » à la surface de blocs calcaires horizontaux. - texte Michel Wiénin - photos pIerre Chante - Cliquez sur les images pour les agrandir -

ESCARGOT : une autre explication, encore plus amusante, est celle de certains escargots comme nos classiques "Cepaea" qui agrandissent les trous dans lesquels ils hibernent pour se protéger.

le SERRE de l'ANE est un site exceptionnel pour les géologues. En effet, la falaise (voir photographie ci-dessus) a enregistré en continu l'histoire de notre planète durant 5 millions d'années. - photos Pierre Chante -Cliquez sur les images pour les agrandir -

Falaise exceptionnelle : elle témoigne de l’articulation entre deux périodes géologiques : le Valanginien (-140 à -134 millions d'années) et le Hauterivien (-134 à -131 millions d’années). Toutes deux représentent des tranches de temps, à l’échelle de la Terre, qui ont enregistré un certain nombre événements géologiques.

Parcours d'interprétation : le département de la Drôme et la commune de la Charce ont fait aménagé en bordure de la route qui relie Rémuzat à Die, en passant par la Motte-Chalacon, un parcours d'interprétation du site géologique.

L'HÉROÏNE : à côté de ce site géologique, sur les bords de la rivière de l'Oule se trouve le petit village perché de La Charce (voir photographie ci-dessus), dominé par un château renaissance qui a appartenu à la famille de Philippe de la Tour du Pin, plus connue sous le nom de Philis de La Charce.

À cheval et l'épée à la main : en 1692, lorsque le prince Victor Amédée II envahit le Dauphiné, pendant la guerre de la Ligue d'Augsbourg, Philis de La Charce aurait, selon la légende, organisé la résistance populaire aux troupes de Victor Amédée II. C'est à cheval et l'épée à la main qu'elle aurait libéré Gap, le Diois, et les Baronnies, à la tête d'une armée de paysans. - Statue équestre de Philis de la Charce, réalisée en 1900, par Daniel Campagne dans le jardin des Dauphins à Grenoble -

CHLOROPHYLLE : cette année, à Rochegude, le printemps est sous le signe de la chlorophylle. En effet, comme tous les champs de la plaine ont été semés en blé et que les pluies ont été abondantes en mars, le vert est la couleur presque unique du paysage. Or le vert est dû à la chlorophylle qui est la couleur de la plupart des feuillages de la végétation. - photos Pierre Chante - Cliquez sur les images pour les agrandir -

En VERT et contre tout : Contrairement à d'autres couleurs, qui changent de nom quand elles sont lavées de blanc ou rabattues avec du noir, comme le rouge qui devient rose ou brun, le vert conserve son nom, vert pâle ou vert foncé, vert vif ou vert grisâtre.

SYMBOLES FLEURIS : les tulipes rouges poussent en signe d’amour éternel. Les tulipes roses symbolisent le bonheur et la confiance. Les tulipes violettes symbolisent la royauté. Les tulipes blanches symbolisent le pardon. - photos Pierre Chante - Cliquez sur les images pour les agrandir -

Les tulipes jaunes symbolisent des pensées joyeuses et signifient littéralement « Il y a du soleil dans ton sourire ». C'est pour cette raison que les tulipes jaunes sont devenues populaires comme cadeaux « juste parce que », car elles ne manqueront pas de faire sourire tout le monde !

TARENTE : Cachée sous une tuile, cette petite tarente, en parfait mimétisme avec son environnement, profitait de la chaleur du soleil. Appelée Tarente de Maurétanie ou Tarente du midi, c'est une espèce de gecko, principalement nocturne, vivant sur le pourtour méditerranéen. - photos Pierre Chante - Cliquez sur les images pour les agrandir -

On peut aussi observer la tarente, lors des soirées d'été, à proximité des lampes sur les murs extérieurs des maisons chassant à l’affût les insectes attirés par des sources de lumière artificielles.

Agilité : la tarente est pourvue de pelotes adhésives sous les pattes qui lui permettent de se déplacer sur les murs, voire sur les vitres des maisons et au plafond. Sur chaque orteil il y a des lamelles adhésives qui lui permettent de grimper même sur des surfaces très lisses (voir photographie ci-dessous). Les troisième et quatrième doigts ont des griffes. - photo François Mignard - Wikipédia -

ESCALE à SÈTE : quelques photos de l’Escale 2024 à Sète, un peu perturbée cette année par la météo, mais toujours aussi passionnante de voiles gonflées vers le large (voir ci-dessus la Grace, au large et sur le pont).

Cette année, la "parade" s'est déroulée le lundi 1er avril. Les bateaux font deux passages devant le port, avant de partir vers d’autres havres. - photographies et texte Claude Bommertz - Cliquez sur les images pour les agrandir -

Le Belem, est parti en Grèce chercher la flamme olympique pour la ramener à Marseille.

Le Shtandart, bateau russe dans la tourmente de la guerre russo-ukrainienne, a pris quelques touristes à bord pour un aller- retour de quelques heures, le temps de voir la parade de près (voir photographies ci-dessus le Belem et le Shtandart).

Galions : pièce principale des officiers du Galeon Andalucia. Dans le port de Sète, le Nao Victoria et le Galeon Andalucia que nous retrouvons, au large, pendant la parade. (photographies ci-dessus)

Le Pandora, le Don du vent et le Santa Maria Manuela, pendant la parade au large du port de Sète (photographies ci-dessous)

BESSAS en BOUCLE : une promenade printanière, autour de Bessas, avec une montée facultative mais sportive au Col de la Serre en vélo.- photos Sylviane Chante-Bois ; Christine Defer ; Pierre Chante - Cliquez sur les images pour les agrandir -

Le Col de la Serre culmine à 371 m et, depuis Bessas, la montée fait 3 km, pour une dénivellation de 187 m. Mais, la pente est raide, en moyenne de 6,23 %, avec des maximums à 8,25 % - bonne ascension - photographie ci-dessous : Bessas, Barjac, depuis la montée du col de la Serre -

Une balade en boucle balisée depuis Bessas, par le hameau de la Clapouse, la Borie en direction du hameau de la Devèze, retour le long du ruisseau de la Barbière puis la route départementale par les Hostes (entre 6 et 7 km à pied).

Une balade vagabonde pour croiser des chevaux, des moutons et des jonquilles sauvages.

Et, au retour, apercevoir, au dessus de Rochegude, l'image presque virtuelle d'un arc en ciel !

INSECTICIDE ÉCOLOGIQUE : les hirondelles sont revenu(e)s. Elles ou Ils pèsent environ 20 gr mais ont parcouru plus de 5 000 km en vol. Elles ou Ils ont vaincu le désert du Sahara, ont survolé la mer Méditerranée, se sont battu(e)s contre les perturbations et les vents orageux.

- photo ci-dessus : Jean-Marie Bonnet - photos ci-dessous : Brocken Inaglory ; Malene Thyssen ; René Dumoulin - source Own work - Wikipédia - Cliquez sur les images pour les agrandir -

Faire son nid : et, tout ça, pour venir se reproduire, sous un toit, dans nos villages, hameaux et maisons. Une hirondelle peut consommer jusqu'à 850 mouches et moustiques par jour. Si nous avions la chance d'accueillir un nid de cette espèce dans notre environnement familier, le couple pourrait tuer environ 1700 mouches et moustiques par jour.

Il n'y a pas d'insecticide plus efficace et écologique.

Deux hirondelles que l'on peut voir à Rochegude : à gauche, hirondelle rustique ; à droite, hirondelles des fenêtres

REMISE en SELLE : hier, nous avons participé à une journée de "remise en selle", organisée à Saint-Jean-de-Maruéjols. Une matinée studieuse, avec des exercices de maniabilité et une après midi heureuse, avec une promenade en dans les collines : Saint-Jean-de-Maruéjols, Rochegude, Saint-Victor-de-Malcap, Saint-Sauveur-de-Cruzières, Lavabre. Merci à Julien et Manuel pour leurs conseils et leur empathie. - photos Sylviane Chante-Bois ; Pierre Chante - Cliquez sur les images pour les agrandir -

Ateliers gratuits : la communauté de communes De Cèze Cévennes propose des ateliers gratuits de remise en selle pour les seniors de plus de 60 ans. 3 autres journées sont prévues en avril et mai prochain : Barjac le 4 avril - Gagnières le 6 mai - Journée surprise le 7 mai

Au programme de la journée (9h à 16h) : matinée dédiée aux ateliers de remise en selle, pique-nique tiré du sac, balade à vélo. Renseignement et inscription auprès de la communauté de communes, service mobilité au 04 66 83 77 87.

RIZIÈRES à RIVIÈRES : mercredi 3 avril, ce matin le temps est à nouveau à la pluie. Toute cette eau, tombée depuis quelques jours, finit par s'accumuler dans les champs, en particulier dans les nombreux champs de blé. - photos Pierre Chante - Cliquez sur les images pour les agrandir -

Une situation inattendue dans notre région. Et, hier, dans la plaine, en contrebas du château de Theyrargues et du village de Rivières, j'ai eu l'impression de croiser des rizières !

SUR ou SOUS le PONT : cette fin de semaine pascale a été bien arrosée, l'occasion de descendre la Cèze de pont en pont, depuis le pont de Saint Ambroix (voir photographie ci-dessus)

- photos Christine Defer ; Sylviane Chante-Bois ; Pierre Chante- Cliquez sur les images pour les agrandir -

le pont de Saint-Victor et le pont de Tharaux, heureusement, ne sont pas submergés mais les eaux sont boueuses et charrient de nombreux troncs.

Au pont de Rivières, l'eau arrive à la limite du tablier mais un grand tronc, en travers, empêche le passage des voitures (voir photographies ci-dessus).

Le pont de Rochegude est le seul à être submergé, couvert par les embâcles qui ont détérioré la bordure de l'ouvrage (voir photographies ci-dessous).

AMÉNAGEMENTS de LOISIRS : comme les pistes forestières ont été refaites, après l'installation du belvédère, la municipalité de Rochegude a décidé de faire réaliser d'autres aménagement de loisirs dans les bois communaux. - Cliquez sur les images pour les agrandir -

Ainsi, au lieudit serre de Vambelle, un espace a été aménagé pour permettre la pratique de la pétanque, tout en profitant du grand air et du panorama.