31 JUILLET 2020 : MAISON de la COUTUME

Maison de la "Coutume" - photo Pierre Chante -

Dernières images du marais poitevin, avant le retour à Rochegude, avec cette fenêtre renaissance et ce "mur pigeonnier" de la Maison de la "Coutume" qui rappelle le rôle joué par le port de Coulon : "Aux confins de trois provinces, le Poitou, l'Aunis et la Saintonge, le port de Coulon fut l'un des plus considérables du bassin de la Sèvre Niortaise. En 1840, cette importante station de batellerie, entre Niort et Marans dans la baie de l'Aiguillon, enregistre le passage de 2 668 barques (des gabarres) transportant bois, tuile, grain, fourrage, charbon, vin,…
Sous l'Ancien Régime, un droit de navigation, la "Coutume" est perçu pour financer les frais d'entretien des voies d'eau. Aussi, la "Grande Coutume de Sèvres" est instaurée dès le 14ème siècle, s'ajoutant au droit de quai, le "rivage" levé dans chacun des nombreux petits ports des différentes localités maraîchines.

Un port aujourd'hui uniquement occupé par les bateaux de promenade sur les canneaux du marais poitevain - photos Pierre Chante -

AQUARIUM de LA ROCHELLE : quelques images prises à l'aquarium de La Rochelle

Maison traditionnelle du Marais poitevin, bien rénovée elle est située au bord de la Sèvres mais uniquement accessible en barque - photo Pierre Chante -, m

MARAIS POITEVIN : quelques images prises dans le Marais poitevin, autour de Coulon.

Barques traditionneles du Marais poitevin - photos Pierre Chante -

En vacances dans les Deux-Sevres, visite au Futuroscope où nous étions allés, il y a trente et un ans, peu après son ouverture, avec Mathilde qui avait alors 5 ans !

FUTUROSCOPE : en 1984, Pose de la première pierre par René Monory, Président du Conseil Général de la Vienne et père du projet. En 1987, le Futuroscope est ouvert au public. Depuis il n'a cessé de ragrandir et d'évoluer. En 2017, pour ses trente ans, il a accueilli 2 millions de visiteurs.

Le Futuroscope, donr la première pierre a été posée en 1984 Par René Monory, Président du Conseil Général de la Vienne et père du projet est ouvert au public en 1987  ET
31 mai, ouverture au public avec le Kinémax, le plus grand écran plat d'Europe (600 m²), le Pavillon du Futuroscope (animations et expositions temporaires) et une zone ludique. Non loin, l'aire de formation et l'aire d'activités technologiques forment le site du Futuroscope.

1988
Ouverture du premier Cinéma Dynamique, du Monde des Enfants et du Showscan (procédé cinématographique 60 images/seconde).

1989
Le Cinéma en Relief et le Cinéma 360° offrent aux visiteurs de nouveaux spectacles. Le premier Palais des Congrès ouvre ses portes.

1990
Ouverture de l’Omnimax (système IMAX® et écran semi-sphérique), et de la Gyrotour (vue d'ensemble du Parc à 45 m de hauteur).
Le Futuroscope produit son premier film en 360° sur le Tour de France cycliste dont le départ a lieu sur le site.

L'église de Coulon (Deux-Sevres) et la tour latérale, couverte d'un petit toit. - photo Pierre Chante -qui servait

Marais poitevin : L'église médiévale de Coulon, petite cité de caractère, dans le marais poitevin, présente une tour latérale qui servait de "chaire" au prêtre en période de crue de la Sèvres. En effet pendant les inondations les paroissien(ne)s venaient assister à la messe en barques !

En route pour notre mission, en tenues de cosmonautes ! La raquette, c'est pour les frelons asiatique !

APICULTURE CORRÉZIENNE : quelques images d'apiculture en Corrèze, chez Élise, pour aller voir sa nouvelle ruche, installée ce printemps - photos Médhy Benzid -

Comme disait mon grand oncle, Paul Chante, qui m'a initié à cette activité : "l'apiculture, c'est 80 % de réflexion et 20 % d'action", avec un bon enfumoir de préférence !

Avec une "belle limousine" pour observer la scène !

Dans la fenêtre de la cave, deux araignées ont tissé des toiles monumentales. j'ai décidé de les laisser pour protéger leurs propriétaires qui en ce lieu ne sont pas particulièrement dérangeantes ! - photos Pierre Chante -

CÈZE à GUÉ : cet été la Cèze est magnifique, c'est un plaisir de la traverser à gué et à cheval ! 

Devant le château de Saint-Victor, pendant la promenade guidée, organisée par le Groupe Histoire en Cèze Cévennes - photo correspondant Midi Libre : Patrice Rodier -

Ciel étoilé, vue vers le nord où vous pourrez voir la comète !

Lundi 20 juillet : promenade guidée à Saint-Victor-de-Malcap (8h30 à 11h30) : avec le Groupe Histoire en Cèze Cévennes, je vous propose une promenade guidée dont le départ est fixé à 8 h30, à la ferme de La Bégude. Par une longue et belle allée de platanes nous gagnerons le village de Saint-Victor, installé depuis le Moyen Âge, sur le versant d'un plateau, autour d'une église initiale. Puis nous partirons à la découverte des petites rues du hameau circulaire de Malcap, ancienne capitale de la tuilerie, dont l'origine pourrait être gallo-romaine. Sur le retour, nous croiserons les tours d'un grand château, rénové au XIXe siècle dans le style romantique, pour parcourir les rues étroites et ombragées du bourg ancien de Saint-Victor. Pour terminer, vers 11 h 30, retour à La Bégude pour prolonger nos discussion autour d'un verre.

HASARD d'une RENCONTRE ! Quand des grands parents, maire et anciens maires se retrouvent par hasard, à Rancarrède, dans la cour ombragée de NÉPENTHÉ, pour déguster des salades agréablement variées et de délicieuses pâtisseries maisons !

Les fourmis volantes s'envolent pour s'accoupler. Les mâles et les nouvelles reines potentielles se lancent dans un vol nuptial, essaiment hors de la colonie pour se reproduire dans les airs. Ces essaims de fourmis volantes peuvent être aperçus durant les mois d’été. Le vol nuptial n’est pas sans danger pour les fourmis : nombreuses sont celles qui n’y survivent pas ! Avant même d’avoir pu accomplir leur devoir de reproduction, elles peuvent se faire dévorer par les oiseaux. Un vrai délice pour les hirondelles, les martinets ou les chauve-souris. Après l’accouplement, tandis que le pauvre mâle va mourir, la nouvelle reine va elle atterrir et chercher l’endroit idéal pour commencer à fonder sa propre colonie. Une fois installée, elle va rejeter ses ailes et commencer à fonder sa colonie. Elle va pondre des œufs et prendre soin de ses progénitures jusqu’à ce que celles-ci deviennent des ouvrières prêtes à prendre la relève dans les tâches diverses au sein de la colonie.

Ce châtaignier remarquable, est situé à l'entrée du village de Saint-Jean-de-Pourcharesse (07), en venant de Lablachère. Il a une circonférence de 6,60 m. Symbole de la culture castanéicole des Cévennes d'Ardèche, il est daté de plus de 300 ans et produit une variété ancienne de châtaignes appelée la Dauphinenche.

Apéritif communal du 14 juillet 2010, dans le Jardin de l'Amitié

Apéritif communal : pour cause de covid, le vide grenier et l'apéritif communal ont été annulés. C'est la première fois, depuis sa création en 1989, il y a 31 ans, que l'apéritif communal n'aura pas lieu. Une fois, entre 1995 et 2000, il avait été reporté du 14 juillet au 15 juillet pour cause d'orage. Retour en image sur le 14 juillet 2010 à Rochegude.

Cette année là, il y avait eu le vide grenier, mais aussi une exposition de peintres et d'artisans d'art dans la rue principale de Rochegude et un spectacle déjante et burlesque : "Le tour de France, sous la douche" !

PIE-GRIÈCHE à tête rousse : entre Courlas et Belvezet, cet oiseau rare et protégé, a été photographié par Jo de Nobele. Il s'agit d'une pie-grièche à tête rousse qui présente un plumage contrasté, blanc et noir, avec une calotte et une nuque de couleur brun-roux. Cet oiseau fréquente des milieux assez dégagés avec haies, buissons et bosquets où il attrape de gros insectes, en guettant ses proies à partir d'un perchoir, le plus souvent au sol, parfois en vol.

Pie-grièche à tête rousse à l’affût d'un insecte - photo Jo de Nobele -

NEPENTHÉ : au quartier de Ranc-Carrède, à l'entrée de Rochegude côté Rivières, Nepenthé vous accueille, dans son cadre de fraîcheur et de verdure, tous les jours de la semaine de 11h à 19h30 sauf le lundi.

Nepenthé, la cour intérieure et la salle rénovée - photo Pierre Chante -

Dans la "Calade T'Encroche", quelques hirondelle ds fenêtres viennent passer la nuit perchées sur la végétation grimpante de cette jolie ruelle étroites où elles sont protégées du vent. Il s'agit de jeunes hirondelles, issues d'une première couvée en mai-juin. Après l'éclosion des œufs, les oisillons restent une vingtaine de jours au nid, puis s'envolent et peuvent revenir au nid familial pour passer la nuit. Mais, souvent les parents élèvent une deuxième couvée, en juillet, et comme il n'y a plus de place dans le nid, les jeunes hirondelles, âgées d'un ou deux mois, doivent trouver un lieu pour passer la nuit. Devenues adultes, elles reviendront l'année prochaine, en mars, pour fonder une famille et un nid.

Les jeunes hirondelles installées pour la nuit, sur les arbustes grimpants de la Calade T'Encroche - photo Christine Defert -

En CANOË sur la CÈZE  : descente en canoë de la Cèze, entre Saint-Ambroix et la guinguette du Ranc à Saint-Denis. Au fils de l'eau, la grande battisse du Roc tombé et son étrange obélisque, un ancien moulin transformé en restaurant.

La levade qui barrait la Cèze pour retenir l'eau du béal et alimenter les meules du moulin - photo Pierre Chante -

À Gréjan, bien installés pour regarder les étoiles, sans lumières pour bien voir le ciel !

VERS LUISANTS : À l'occasion d'une promenade nocturne pour regarder les étoiles nous sommes montées sur le plateau de Gréjan et là, avant les étoiles du ciel, nous avons pu observer de petites étoiles brillantes le long du chemin de Gréjan ! C'étaient des vers luisants qui ont une  dimension magique par leur capacité à émettre de la lumière avec son corps. Bonne nouvelle pour les Gréjanais(es) Leur présence est un indicateur de bonne santé écologique.

Les vers luisants appelés également lampyres (d'un mot latin signifiant "brillant) appartiennent à l’ordre des insectes coléoptères. Seule la femelle qui ressemble à un petit mille-pattes plat émet de la lumière par la face ventrale des derniers segments abdominaux qui produit de l’énergie lumineuse. Ainsi lorsqu'elle relève son abdomen, le mâle qui a des élytres et des ailes peut la reconnaître et voler vers elle. C’est par ce comportement, qu’ils s’attirent et se reproduisent le plus souvent pendant les chaudes nuits de juin et de juillet.

Pour pouvoir se régaler de proies parfois 100 fois plus grosses que lui, (escargots ou limaces), le ver luisant utilise une méthode imparable. À l’aide de ses mandibules, il leur injecte un liquide mortel et digestif. Puis, tout simplement, il les aspire !

Maison du jardinier : Cette maison qui se trouve au carrefour de la route départementale 16, d'Alès à Rochegude et de la route du pont de Rivières est l'ancienne "maison du jardinier". Les terres qui l’entourent constituaient le jardin, arrosé avec l'eau du canal, et elle faisait partie du domaine de Theyrargues où se dresse le château du même nom. - photo Pierre Chante -

"TOUR de FÊTE" : Michel Gasarian présente actuellement une exposition dans le parc du château de Vizille, avec des photographies inattendues, tendres amusantes... qui ne montrent pas les coureurs du Tour de France mais les spectateurs de la "grande boucle", en particulier dans les étapes des Alpes : 

"Voici un florilège d'images de mon exposition Tour de fête accrochée et inaugurée hier dans le parc du château de Vizille. Il est intéressant de se souvenir que le Jeu de Paume était un sport avant d'être une galerie d'art dans le jardin des Tuileries à Paris. C'est dans cette ancienne enceinte du Jeu de Paume du château de Vizille - source de la Révolution française - débarrassée de ses murs, eux-mêmes subrogés par des haies de troène, que le Tour de France renvoie la balle à l'ancêtre de la pelote (pelote parce qu'il y a quatre coins pour se peloter) avant d'être un serment historique. Vous voyez que ça ne rigole pas !" - Michel.

Au dessus des collines d'Ardèche, des montagnes des Cévennes et du Mont Lozère, tous les soirs, les splendeurs de la nature ! - photo Pierre Chante -

CIGALES : avec la chaleur, les cigales se font entendre, mais il y a plusieurs sortes de cigales dans notre région. Pascal Nardi, capable de reconnaître leurs différents chants, a photographié, dans son jardin à Vézénobre, quatre variétés de cigales. De haut en bas, cigale Plébéienne, cigale pygmée, cigale noire et cigale de l'orne la plus fréquente dans notre région - photos Pascal Nardi -

Cigale Plébéienne, cigale pygmée, cigale noire et cigale de l'orne la plus fréquente dans notre région - photos Pascal Nardi -

Coucher du soleil par delà les collines d'Ardèche, les montagnes des Cévennes et le Mont Lozère - photo Pierre Chante -

Le hérisson

aperçu furtivement, la nuit, au début du mois de mai est devenu un "familier" du quartier de la Barrette, au dessus de la mairie de Rochegude. il vient maintenant en plein jour, dans la matinée et furette tranquillement à la recherche d'insectes, d'escargots et de fruits.  - photo Marie-Jeanne Schillings -

Laurette OLLIER qui résidait au mas de la "combe des Baux", route de la montée de Tharaux est décédée à l'age de 89 ans. Les obsèques religieuses auront lieu au temple de Saint Jean de Maruéjols à 14H30 et seront suivie de l'inhumation au cimetière de Rochegude, vers 15H30. Elle était mariée à Maurice OLLIER, décédé en 2013, à l’âge de 85 ans.

Mas de la combe des baux, installé au dessus de la route qui conduit à Tharaux. Mas familial de la famille Ollier.

Le mas de la "combe des Baux" 

est situé sur la rive droite de la Cèze. Il occupe une position particulière car il se trouve plus près de Tharaux que de Rochegude. La première mention de ce mas date du début du 19e siècle, elle concerne Simon Rouveyrol, né à Tharaux, marié avec Marie Chante, désigné comme cultivateur au mas de la combe des Beaux à Rochegude. Simon et Marie, qui auront sept enfants, tous nés à Rochegude, ont-ils construit ce mas ou repris un ancien bâtiment ? Leur arrière-petite-fille, Augustine Rouveyrol épouse, en 1920, Marcel Ollier, né à Tharaux, qui viendra à son tour comme cultivateur au mas de la combe des Beaux.

Le nom de cette combe a varié avec le temps : "combe de Val Antiqua" est le plus ancien, justifié par le passage, dans cette vallée, de l’ancienne voie romaine. "Combe des Baux" ensuite, car les versants pentus sont dominés par des escarpements rocheux. Enfin, sur le cadastre actuel, "combe des Badus", un nom plutôt étrange (Il existe un sommet des "Badus" (2928m) dans les alpes, en Suisse, dans le Canton des Grisons).