Septembre 2023 : PROMENADE SOLAIRE !

PROMENADE SOLAIRE : dernier jour d'un joli mois de septembre marqué par la présence, presque permanente, du soleil. L'occasion de souligner le déplacement du soleil à l'horizon. En juin il vient se coucher derrière Saint-Brès, au sommet du Ranc d'Uzège (451 m), puis progressivement pendant l'été, il se déplace derrière le Mont Lozère (1699 m). À l'automne, il glisse doucement en direction du Mont Aigoual (1565 m). - photos Pierre Chante - Cliquez sur les images pour les agrandir -

NID de FRELONS ASIATIQUES : avec l'automne, les premières feuilles commencent à tomber, ce qui a permis de découvrir un nid de frelons asiatiques installé au sommet d'un arbre, dans le village de Rochegude, à coté de l'ancien chemin d'Uzès. Une présence signalée aux autorités et services compétents - photos Marc Ansel ; Pierre Chante - Cliquez sur les images pour les agrandir -

RENCONTRE NOCTURNE : de nuit, à la sortie de Barjac, après avoir franchi le ruisseau du Cantabre, nous avons croisé la trajectoire d'un gros sanglier. Pour nous, dans la voiture, le choc n'a pas été fort, mais le pauvre sanglier s'est envolé les quatre fers en l'air, dans le talus et les buissons, de l'autre côté de la route. Plus de surprise que de mal, la solide voiture a eu quelques dégâts à l'avant et elle a été emportée chez le carrossier pour se refaire une beauté - photos Sylviane Chante-Bois ; Pierre Chante - Cliquez sur les images pour les agrandir -

VIEUX-PRÉ et PIERRE-PERCÉE : deux jolies noms, bucolique et géologique. Le barrage du lac de Pierre-Percée ou barrage de Vieux-Pré est un ouvrage d'art sur la commune de Pierre-Percée, en Meurthe-et-Moselle, aux limites du département des Vosges, barrant le ruisseau du Vieux-Pré pour former le lac de Pierre-Percée. Construit par EDF entre 1981 et 1985 au lieu-dit le Vieux Pré, il est mis en service en 1993 - photos Christine Defer - Cliquez sur les images pour les agrandir -

MARCHE pour la VUE en IMAGES : un titre à la fois paradoxal et porteur d'espoir ! Retour en images sur la "Marche pour la vue" du dimanche 24 septembre. Une belle journée, bien organisée, par la commune de Saint-Jean-de-Maruéjols-et-Avéjan et la Communauté de Communes De Cèze Cévennes ; une initiative couronnée de succès et de soleil.  - photos Christelle Daublon ; Coralie Nivert ; Pierre Chante - Cliquez sur les images pour les agrandir -

Plus de 80 marcheurs solidaires se sont partagés les 4 randonnées au départ de Barjac, Saint-Jean-de-Maruéjols, Potelières et Saint-Denis, pour tous se retrouver autour d'un verre, sur l'esplanade à Saint-Jean-de-Maruéjols.

MERCI à Arielle Dumas et à l'association l'IRRP (Information Recherche Rétinite Pigmentaire), aux associations de randonnées : Rando-Cèze et Racines et Patrimoine Occitans, aux communes de Barjac, Saint-Denis, Potelières et Saint-Jean, au Centre Social et Culturel de la Vallée de la Cèze de Molières-sur-Cèze pour le minibus...

PERCHE SOLEIL : Lepomis gibbosus, communément appelé perche japonaise, Crapet-soleil ou Perche soleil, pêchée dans la Cèze, au pont noyé, est un poisson migrateur potamodrome, c'est-à-dire qu'il migre, mais uniquement en eau douce. Originaire de l'Amérique du Nord, l'espèce a été introduite dans de nombreux pays du monde, où elle peut alors se montrer invasive. Ce poisson, réputé très vorace, se nourrit de presque tout, de vers, de crustacés, d'insectes, d'alevins et d'œufs de poisson. En France, ce poisson est classé comme nuisible et ne doit donc être ni relâché ni transporté vivant. - source Wikipédia - dessin : Raver Duane, Lepomis gibbosus U S Fish and Wildlife Service - photo Pierre Chante - Cliquez sur l'image pour l'agrandir -

BALADE SAINT-JEANNAISE : ce dimanche 24 septembre, à 10 h et à 13 h30, la "Marche pour la vue" organise deux balades commentées autour et dans le village de Saint-Jean-de-Maruéjols - départ sur l'esplanade, devant la mairie - distance : moins de 5 km - article cidessous : Roger Roux, Midi Libre, 2004 - photos : Martine et François Schwaab - Cliquez sur les images pour les agrandir -

MARCHES pour la VUE : chaque année, l’association IRRP (Information Recherche Rétinite Pigmentaire) organise, dans des dizaines de communes, une journée ludique et sportive afin de récolter des fonds pour la recherche sur les maladies de la vue. Randonnées pour débutants ou plus sportifs, nature, animations… Une façon conviviale d’aider la recherche médicale ! - voir le site : https://irrp-asso.org/nos-actions/marches-nationales-vue-2023 -

Dimanche 24 septembre, à partir de 9 h, l'IRRP, la communauté de Commune de Cèze Cévennes, les communes de Potelières, Saint-Denis, Saint-Jean-de-Maruéjols-et-Avéjan participent à cette journée de "Marche pour la Vue" - voir affiche ci-dessus -

Balades commentées : dimanche 24 septembre, à 10 h et à 13 h30, j'animerai deux balades commentées autour et dans le village de Saint-Jean-de-Maruéjols - départ sur l'esplanade, devant la mairie - distance : moins de 5 km - photos : Martine et François Schwaab - Cliquez sur les images pour les agrandir -

Quand les GUÊPES BATIFOLENT : les guêpes polistes ont un cycle annuel de développement. Un nid de guêpes n’est jamais réutilisé d’une année sur l’autre. Chaque année, la colonie disparait en hiver et repart à zéro, au printemps, avec une nouvelle reine qui avait été fécondée, à l'automne précédent, par les mâles. À la fin de l'été et en automne, les guêpes reproductrices et les mâles s'accouplent (voir photographies ci-dessous). L'hiver, ouvrières et males meurent. La reine guêpe reproductrice est celle qui assure la continuité de l’espèce. - photos ci-dessus : à gauche, guêpe male avec ses antennes enroulées, en forme de crosse d'évêque ; à droite guêpe femelle avec ses antennes droites - photos Pierre Chante - Cliquez sur les images pour les agrandir -

PATIENCE : l'Ipomée est une fleur qui pousse vite, mais aujourd'hui faisons preuve de patience et profitons des deux jours d'été supplémentaires que nous offre le calendrier. 

Photos ci-dessus : Jean Poulouin, coucher de soleil sur les Cévennes - Véronique, arc en ciel dans les montagnes autour de Katmandou - photos ci-dessous : Fabienne, ambiance vénitienne à Castre sur le pont de l'Agout - Christine Defer, col de l'Arpettaz en Savoie -

Comme en 2022, L'automne ne commencera officiellement que le 23 septembre, car la Terre tourne autour du Soleil en 365 jours, 5 heures et 46 minutes. Par conséquent, tous les quatre ans, on doit réajuster en ajoutant un 29 février, ce qui décale la date de l'équinoxe qui varie entre les 21 et les 24 septembre selon l'année.

Selon l'Institut de mécanique céleste et de calcul des éphémérides, l'équinoxe d'automne aura très exactement lieu à 6 heures 49 minutes et 56 secondes, ce 23 septembre.

Plus VITE que son OMBRE : l'Ipomée volubile est une grimpante qui pousse plus vite que son ombre ! La croissance de cette plante grimpante est impressionnante ! En l’espace de quelques semaines, elle développe ses longues guirlandes s’enroulant autour de tout support disponible, ou à même le sol s’il le faut !

L’ipomée a de larges feuilles en forme de cœur. Elle porte, de l'été à l'automne, de belles fleurs en trompette qui s’ouvrent au matin et passent en une journée. Mais elles se renouvellent constamment. - photos Pierre Chante - Cliquez sur les images pour les agrandir - 

Entre LAC, POINTE et CIEL : partons en Haute Savoie, découvrir un sommet, la pointe de la Rochette. Une randonnée qui offre une vue panoramique exceptionnelle sur le lac d’Annecy.  Le départ, de cette randonnée de 4 km, se situe au col de la Forclaz, au dessus de Montmin. Le chemin monte par la route jusqu’au terrain de décollage des parapentes. La vue sur le lac d'Annecy est imprenable, car très dégagée. - photos Christine Defer - Cliquez sur les images pour les agrandir -

ÉTOILE MARUÉJOISE : l'épisode cévenol s'éloigne, le ciel est nuageux, mais les pluies, dans le haut Gard, ont été très peu abondantes. En ce lundi de septembre, je vous fais suivre ce courriel de Karine, secrétaire de l'association de l'Étoile Maruéjoise :

"Bonjour, demain reprennent certaines activités de l'association. Voici, ci-dessus, les planning des activités, les dates de reprise, les tarifs et le calendrier. à bientôt" - Karine - Cliquez sur les images pour les agrandir -

SALAVAS sur ARDÈCHE : le village de Salavas est situé en Ardèche méridionale, sur la rive droite de l'Ardèche, face à Vallon-Pont-d’Arc. Remarquable par son patrimoine historique, Salavas est un charmant village pittoresque. Dans le vieux village perché, puits et fontaines jalonnent les calades pavées de galets. Un circuit pédestre, jalonné de romantiques banc de bois, permet d’en découvrir les richesses historiques. - merci à Fabienne et à Jo qui nous ont guidés dans cette agréable balade - photos Pierre Chante - Cliquez sur les images pour les agrandir -

Légende du nom de la commune : selon la légende, Salavas doit son nom à la contrebande du sel. Les anciens racontent l’histoire de la fontaine salée, Font salade. Pour éviter de payer la gabelle, taxe sur le sel, des contrebandiers, avertis que des gens d’armes les attendaient en bas du village, auraient déversé leur chargement dans un puits. D’où fontaine salée, Font salade et sel lavé : Salavas.

le château médiéval serait vraisemblablement du XIIe siècle pour la partie la plus ancienne. On le trouve mentionné pour la première fois dans l’inventaire des archives de l’évêché d’Uzès de 1578, sur un parchemin de 1213 faisant état d’une donation de Bernard de Ferreyrolles à messire Raymond, évêque d’Uzès. 

 

Le château est pillé et détruit en 1628, en même temps que celui de Vallon, par le Duc de Rohan, gendre de Sully et chef des protestants du Languedoc.

Voie Antonine : Salavas était situé le long de la voie romaine reliant Nîmes à Alba. Cette voie, dont deux bornes milliaires ont été retrouvées dans le sol de Salavas, date de l’époque de l’empereur Antonin le Pieux (144-145 après J.C.).

Puis, par une calade pentue, nous quittons le village, pour gagner les bords de l'Ardèche où se trouvait le Gué de Chauvieux (Chaussée vieille), lieu de passage pour joindre le Bas Languedoc au Vivarais et au Massif central.

ATELIER, ART et PATRIMOINE : Bettina Kraemer propose deux journées "Portes ouvertes", de 11 h à 19 h, dans son atelier installé Terre de Barry - à la sortie de Saint-Jean-de-Maruéjols, au pied du village d'Avéjan, sur la route de Barjac - voir invitation ci-dessus -

Patrimoine minier : cet atelier est installé dans un des bâtiments des anciennes mines d'asphaltes d'Avéjan. cette concession minière a été accordée le 11 août 1906 à la SMAC (Société civile des Mines de Bitume et d’Asphalte du Centre) fondée en 1884, par Gaston Alexandre. - photos Martine Schwaab ; François Schwaab ; Pierre Chante - Cliquez sur les images pour les agrandir -

Le Puits Delamare aménagé à partir de 1907. Autour du chevalement, à gauche sur la photographie, le carreau de la mine comprend plusieurs bâtiments, construits entre 1907 et 1910 : la recette, un triage, une chaudronnerie, des bureaux, la maison du directeur et une centrale électrique (voir carte postale ci-dessus). 

Les activités minières ont été arrêtées en 2001. Toutefois, quelques années après les bâtiments, en triste état, ont été repris par la Communauté de Communes De Cèze Cévennes et rénovés pour en faire des ateliers relais (voir photographies ci-dessous).

FAÎTES votre CHOIX : samedi 16 et dimanche 17 septembre, à l'occasion de la 40ème édition des "Journées du Patrimoine", vous trouverez ci-dessus et ci-dessous, de nombreuses affiches avec des propositions de visites ou de découverte du patrimoine régional. - Cliquez sur les images pour les agrandir -

Les premières Journées du patrimoine ont été lancées le 23 septembre 1984 par le ministère de la Culture, à l'initiative du ministre Jack Lang, sous le nom de « Journée portes ouvertes dans les monuments historiques », le troisième dimanche de septembre.

Les Journées européennes du patrimoine (JEP) sont des manifestations nationales et internationales annuelles qui permettent au public la découverte de nombreux édifices et autres lieux qui ne sont souvent qu'exceptionnellement ouverts au public, ou de musées qui vont alors modifier leur offre voire leur tarification pour l'occasion.

GUÊPE or not GUÊPE ? Hier, sur le bord d'un bassin, j'ai photographié cet insecte étrange. Il ressemble à une grosse guêpe, mais de quelle bestiole s'agit-il ? - photos Pierre Chante - Cliquez sur les images pour les agrandir - 

A"IEUR" : La lune bleue, en Corse du Nord, au dessus du col de Teghime qui est situé entre les villes de Bastia et Saint-Florent. Ce col offre un point de vue sur les deux côtes de la Corse, avec Bastia et la mer Tyrrhénienne à l'est, Saint-Florent, le désert des Agriates et la mer Méditerranée à l'ouest. - photo Christelle Stawski - Cliquez sur les images pour les agrandir -

A"IEUR" : Les flamants roses sont très nombreux en Camargue, mais on peut aussi les retrouver, plus au "Nord", dans les Dombes, au "Parc des Oiseaux" qui propose 300 espèces et 3 000 oiseaux, à admirer sur 35 hectares. - photo Martine Lacomblez -

et ICI : le pont de Rochegude fascine les photographes et exacerbe leur créativité. Vous avez été nombreuses et nombreux à admirer la photographie de Christine (voir ci-dessus), vous découvrirez, ci-dessous, celles d'un infatigable marcheur - photos Jean Poulouin - Cliquez sur les images pour les agrandir -

RETOUR à ROCHEGUDE : la promenade entre grande Camargue provençale et petite Camargue languedocienne est terminée. L'ocasion d'évoquer une tradition du Languedoc : la Joute nautique. Un sport pratiqué dans les villes de l’Hérault (Béziers, Agde, Marseillan, Mèze, Balaruc, Frontignan, Sète, Palavas) et dans une ville du Gard, le Grau-du-Roi où les photographies ont été prises. - photos Pierre Chante - Cliquez sur les images pour les agrandir -

TITAINE : deux barques lourdes, l'une dite « la rouge », l'autre dite « la bleue », sont propulsées par huit à dix rameurs et guidées par deux barreurs, les « timoniers patrons ». Les compétiteurs appelés « jouteurs » sont positionnés sur une plate-forme se situant à près de trois mètres de l'eau, à l'extrémité de chaque barque. Cette plate-forme porte le nom de tintaine. Les deux barques font alors face, se propulsant l'une vers l'autre, jusqu'à l'impact final. Au moment de l'assaut, les deux bateaux se frôlent par la droite pour permettre aux jouteurs de réaliser "la passe". Munis de leur lance et du pavois, l'objectif du jouteur est de faire tomber son adversaire à l'eau. Le vainqueur est celui qui reste en place sur la tintaine.

Entre SEL et CIEL : une promenade photographique dans les salins de Salin-de-Giraud. La coloration rose de l'eau est liée à la prolifération de micro-organismes du type algues microscopiques, appelées "Dunaliella salina" qui nourrissent les flamands roses. À demain, peut-être, si nous avons internet, dans le prochain gîte - photos Pierre Chante - Cliquez sur les images pour les agrandir -

Méditerranée : le « Sel de Camargue » ou la « Fleur de sel de Camargue » est un sel alimentaire d'origine marine, issu de l'évaporation naturelle de l'eau de mer, et cristallisant uniquement sous l'action du soleil et du vent. Produit en Provence depuis 1856, le Sel de mer "La Baleine" provient des eaux claires de la Méditerranée.

SALIN-de-GIRAUD et SALINDRES : c’est à la fin du 19ème siècle que le village de Salin-de-Giraud s’est développé près de l’embouchure du grand Rhône, avec l’implantation de deux entreprises liées à la production et à l'utilisation du sel (voir photographies ci-dessus) :

Du sel pour Salindres : en 1855 un ingénieur chimiste lyonnais, Henri Merle acheta 8000 hectares d’étangs et de marais en vue d' alimenter en chlorure de sodium et autres sels, son usine de Salindres dans le Gard.

Solvay et Salindres : en 1895, la société Solvay, déjà installée à Salindres, construit une usine où le sel, acheté aux établissements Merle, permet la fabrication de la soude qui est transportée aux savonneries de Marseille par bateau via le Rhône puis la mer.

Citées ouvrières : à coté de ces usines sont construites deux cités ouvrières : celle dite de "Péchiney" et celle dite de "Solvay" (voir photo ci-dessous)  - photos Pierre Chante - Cliquez sur les images pour les agrandir -

SALIN de GIRAUD : pour trois jours, nous sommes, pour faire des balades à vélo, au village de Salin-de-Giraud qui se situe au sud-est du delta de la Camargue, en rive droite du grand Rhône, sur la commune d'Arles. Nous partons en promenade, à ce soir pour une première carte postale - Bonne journée ! photo : Mbzt - Le bac de Barcarin permet le franchissement du Grand-Rhône à hauteur de Salin-de-Giraud -

LIEU d'AISANCE : expression ancienne et surannée. Elle est apparue au début du XXe siècle et désigne les toilettes, les WC. C'était le lieu où l'on soulageait ses besoins naturels. D'où le mot aisance, sensation qui en résultait. Ce lieu d'aisance se trouvait à l'extérieur de la maison, installé dans une petite cabane. Comme l'écrit Lionel Labosse : "c’était Byzance si l’on avait une cabane en planches dans le jardin, qui fît lieu d’aisance."  Comme le montre, les photographies ci-dessus et ci-dessous, on peut retrouver, à Courlas, Rochegude ou Avéjan, ces petites constructions qui servaient de lieu d'aisance. - photos Pierre Chante - Cliquez sur les images pour les agrandir -

FAIRE-PART : hier, notre colombe male, dénommé Simba, est venu nous rendre visite en compagnie de son fils ou de sa fille. C'est la première fois que nous le ou la voyons. Depuis le printemps, Simba vit en liberté et il s'est mit en couple avec une tourterelle. Ainsi, lui et sa compagne ont réalisé un croisement : un accouplement entre deux animaux d'une même famille mais d'espèces différentes. Par exemple deux équidés Ane/Jument, deux canidés Loup/Chacal, deux fringilidés Canari/Chardonneret ou encore deux columbidés Tourterelle/Colombe. Ces croissements donnent des hybrides qui généralement, ne sont pas féconds. - photo : Pierre Chante -

De la GUINGUETTE au BIBIS'TROT : comme le montre la photo ci-dessus, jusqu'au début des années 1990, à l'emplacement de l'actuelle guinguette de Rochegude, se trouvait un grand lavoir couvert dont l'eau provenait du canal. En 1992/1993, Denis Rieu a restauré le bâtiment. Il l'a transformé en cuisine pour un restaurant et a aménagé une terrasse pour les futurs clients du restaurant.

Nathalie et Michel (surnommé depuis son enfance Bibi), au centre sur les photographies, ont été, de 1994 à 1998, les premiers gérants de cette guinguette et lui ont donnée, depuis bientôt 30 ans, une bonne réputation qui, avec peu de bas et beaucoup de hauts, ne s'est pas démentie. - photos Martine Lacomblez - Cliquez sur les images pour les agrandir -

BIBIS'TROT : aujourd'hui Michel Roure et son épouse Nathalie Rome (familles Saint Ambroisiennes) tiennent le BIBIS'TROT. Un restaurant situé à l'entrée des Mages, en venant de Saint-Ambroix. Un lieu chaleureux et accueillant, avec une cuisine généreuse et familiale et un plaisir de se retrouver pour évoquer tous ces souvenirs heureux ! 

ESCAPADE MUSICALE : hier, en fin d'après midi, au hameau de Courlas s'est déroulé, à l'ombre des muriers, dans la cour de Simone et André, une soirée musicale. En ouverture, André a raconté comment, Quetzalcóatl dieu à forme de serpent, était allé chercher, dans le royaume du dieu Soleil, les musiciens et la musique. Puis Joëlle, à la flute à bec, et Baptiste, à la clarinette, ont joué des morceaux de musiques de danses, de l'époque Baroque : musette, gavote et menuet. Des œuvres courtes composées en deux parties : une première partie enlevée et rapide et une deuxième plus lente plus sombre. - Photos Pierre Chante - Cliquez sur les images pour les agrandir -  

Sensibilité et de virtuosité : pour terminer, Baptiste qui s'était déjà produit à Rochegude, dans l'église (voir ci-dessous), remarquable de sensibilité et de virtuosité, nous a fait apprécier toutes les possibilités des clarinettes

23 juillet 2017 - Concert de clarinettes : avec l’ardeur de leur âge, de la virtuosité et de l'émotion, le quatuor "Dels Monts", composé de  Bastien Boué, Vincent Lochet, Baptiste Rollet et Claire Voisin a offert un concert de clarinettes devant un public nombreux

JASON, entre autre : commençons ce mois de septembre en évoquant un bel et grand papillon, aux multiples noms : la Nymphale de l'arbousier (Charaxes jasius), aussi appelée Pacha à deux queues, Jason ou encore Jasius ! - photos Pierre Chante et ci-dessous : Didier Descouens (Wikipedia) vue dorsale et vue ventrale - cliquez sur les images pour les agrandir -

Le Jason est l’unique grand papillon de jour européen à double queue. Originaire d’Afrique, il est observable de la fin du printemps jusqu’en automne sur le pourtour méditerranéen, en particulier dans les régions où pousse l’arbousier (comme dans les bois au-dessus d'Aubarine et Rochegude) dont les feuilles nourrissent la chenille. Il présente de grandes ailes mesurant jusqu’à 5cm, zébrées de noir, d’orange et de carmin. On le rencontre souvent posé sur des fruits mûrs ou fermentés (le Pacha est très attiré par l’alcool !) dont il se délecte grâce à sa longue trompe. En cette période, il est abondant autour des figuiers et se pose sur les figues bien mures.